Par Tsuredurebana et Rin Hagiwara. Sorti au Japon sous le nom de «Dareka Kono Joukyou wo Setsumei Shite Kudasai! ~ Keiyaku Kara Hajimaru Wedding ~ ”par ArianRose. Publié en Amérique du Nord par J-Novel Club. Traduit par Mattias Hirsch.
Quelque chose m'a frappé pendant que je lisais ce livre, d'autant plus que notre héros est parti mener une guerre que nous ne voyons jamais réellement et que notre héroïne et ses beaux-parents sont assis à la maison en train de manger des collations et de se demander combien de temps il faudra avant que leur pays triomphe: ce une histoire particulière est celle des gens riches et de leurs modes de vie riches. Il souligne l'arrogance de Cercis en essayant de vin et de dîner Viola avec la nourriture et les accessoires les plus chers possibles, mais cela vise à souligner sa naïveté d'homme plus que sa naïveté d'homme riche. Même Viola, qui passe sans doute des haillons à la richesse comme point de départ de toute l'histoire, est une pauvre NOBLE – elle est toujours la fille d'un comte. La majeure partie de l'intrigue implique Viola qui fait le tour de son manoir, s'occupe de son jardin et mange de la nourriture délicieuse, et le plus proche du choc est quand elle renverse du thé sur l'une des robes chères. C’est un conte de fées.
Comme indiqué, la majorité de ce livre voit Cersis s'éloigner à contrecœur de la femme qu'il essaie désespérément de courtiser, car le pays voisin a décidé de se battre, et ils doivent aller là-bas et les déposer. Nous avons une vision très unilatérale de ce conflit – il est fondamentalement admis que Cersis et sa société gagneront, la question est de savoir combien de temps cela prendra, et nous n’avons aucune impression réelle de l’autre côté. C’est franchement insatisfaisant et tout le monde se sent un peu suffisant. Cela n'est pas aidé par le fait que Cersis soit en mode lourd et amoureux tout au long, alors il écrit des lettres super sévères à sa femme et punit également d'autres soldats qui ont apparemment frappé Viola sans savoir qui elle est. C’est censé être amusant, mais cela m’a encore plus frappé en disant: «Je suis riche et duc, donc je peux faire ce que je veux.»
Comme vous vous en doutez, nous sommes également confrontés au fait que Viola ne se rend pas compte à quel point Cersis est amoureux d'elle, surtout parce que Viola a toujours une haine de soi qui commence à devenir un problème. Ses serviteurs commencent à s'user un peu plus Viola se décrit comme simple et terne, car ce n'est tout simplement pas vrai. Nous voyons qu’elle n’est pas très douée pour socialiser dans les garden-parties, mais c’est davantage parce qu’elle a été abandonnée au moment où elle est arrivée et forcée de se promener seule. Heureusement pour Cersis, il semble que Viola commence à développer des sentiments pour lui inconsciemment. Celles-ci n'apparaissent pas dans sa narration à la troisième personne, qui semble toujours être remplie de «bon sang, nous sommes juste un mariage contractuel», mais sa réaction lorsqu'un messager apporte ce qu'elle pense être une mauvaise nouvelle pour son mari est la clincher – elle est clairement paniquée et n'a clairement aucune idée de la raison pour laquelle elle a paniqué.
Donc, dans l'ensemble, c'est un assez bon volume dans la série, mais, eh bien, même la «date du roturier» que Cersis prend Viola au début se révèle être «nous utilisons notre pouvoir pour reprendre un restaurant afin qu'ils puissent avoir leur douce date ». Ce n’est pas la série la plus 2020 au monde.